Maggio 1, 2024

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La crisi ucraina, una politica osé per Macron?

La sequenza a été marquée par des signes positifs avec l’annonce lundi matin d’un accord de principe pour un sommet Poutine-Biden à l’iniziativa di Emmanuel Macron. Mais, moins de 24 heures plus tard, le ton était devenu alarmiste et accusateur lorsque le président français a “condamné” la reconnaissance par Moscou de l’indépendance des territoires séparatites de l’Est ukrainien.

Vladimir Poutine «n’a pas rispettaé la parole donnée» à Emmanuel Macron, a dénoncé Paris. « Nous sommes parfaitement à l’aise que nous sommes allés au bout du chemin que nous pouvions parcourir » en termes de négociation, a insistere sull’Élysée lundi soir. « Notre invitation au président Poutine était de faire un choix, il a fait son choix », ajouté un conseiller.

Prezzo di rischio

Depuis près d’un mois, l’Élysée, rompant avec ses habitudes, communique en temps réel sur la succession des échanges du président en organisant des compte-rendus détaillés avec les conseillers diplomatiques con vi auxestré figli di 200 giornalisti.

Il volontarisme déployé di Emmanuel Macron è mis en avant. Sa fotografare il personale in un publié nel fine settimana una serie di clichés le montrant à son bureau, barbe de trois jours et tratti creusés. « Le president a beaucoup d’énergie positive. Il n’est pas réellement un médiateur, plutôt un facilitaur » en proposant « des Initiatives et des paramètres pour la négociation », expliquait l’Élysée avant la nouvelle escalade survenue lundi soir.

Publiquement, Emmanuel Macron s’est montré prudent, assertant à plusieurs riprende n’être pas sûr de réussir mais que son devoir était d’essayer. « Il prend son risque », curriculum l’Élysée en reprenant l’une des expressions favorites du chef de l’État. Ce risque, le président l’a déjà pris à plusieurs riprende depuis le début du quinquennat, notamment en s’engageant comme médiateur au Liban, en Libye, dans le conflit entre l’Armézerier et l’anir ïvent ​​​​l’Air do s sans être payé de retour.

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L’enjeu politique est cette fois plus sensible puisqu’il y consacre l’essentiel de son temps à moins de 50 jours du premier tour de la présidentelle, le 10 avril, ce qui justifie, selon son entourage, son entrée la tardive camp dans , repoussée à la semaine prochaine.

« Rien de concret »

Face à cette situazione inédite à l’approche d’une présidentelle, les ops cherchent le bon angle d’attaque, entre critiques sur la form et dénonciations de la naïveté d’Emmanuel Macron.

« On est dans la politique spettacolo che il presidente della Repubblica adora […] Il n’y aucun résultat concret. Cela se joue entre les États-Unis et la Russie », un cinglé lundi Thierry Mariani, porte-parole di Marine Le Pen (RN). La candidate à la présidentelle assurait ce mardi 22 février que lo chef de l’État avait «fait de la communication» dans ses pourparlers avec Vladimir Poutine. Elle l’accusr d’avoir «voulu se servir d’un succès diplomatique pour entrer en campagne».

Pour Éric Zemmour, le candidat de Renconquête !, Emmanuel Macron a certes « raison » de tenter d’éviter la guerre. Mais « sa démarche est vouée à l’échec », car « nous sommes vus par les Russes comme les petits télégraphistes de Washington ».

Pour l’Insoumis Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron souffre d’un problème de « credibilité », notamment lorsqu’il affermae que « nous allions défendre l’intégrité physique de l’Ucraina », ce dont « les Russes saveen tr que nous sommes incapaci».

« Le chef de l’État a été « roulé dans la farine » par son homologue russe », avait égallement dénoncé Valérie Pécresse (LR) après la rencontre Macron-Poutine au Kremlin.

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Al centro dell’attenzione

Ces critiques sont jugées indignes par la majorité qui loue un président prenant « tous les risques jusqu’à la dernière minute pour pouvoir éviter un conflit armé », selon le délégué général de LREM Stanislas Guerini.

Pour le spécialiste de communication politique Philippe Moreau-Chevrolet, “toute situation de crisi aiguë à ce stade le place au centre de l’attention médiatique et des débats en faisant disparaître l’opposition, quelle qu’elle soit”.