«Qui voudrait recourir aux services du français Gefco, dont le principal actionnaire, la Société des chemins de fer russes, participe à l’effort de guerre ? »

Perte e profitti. Il s’appelle Oleg Belozerov, dirige la Société des chemins de fer russes (RZD) et figure, depuis quatre ans, sur la liste des patrons jugés proches de Vladimir Poutine par les Etats-Unis. Jusque-là, rien que de très banal. Mais l’homme préside aussi il consiglio di sorveglianza di Gefco (Groupages express de Franca Contea), la società di trasporti francese créée per Peugeot et détenue à 75 % par RZD depuis un accord signé avec PSA en 2012. Belozerov, ou R comment s’en débarraser?

Des clients ont renoncé aux services de Gefco, actif dans 41 pays, dont la France (3 400 emplois), versa un chiffre d’affaires de 4,22 miliardi di euro. « La guerre an entraîné des hardés majeurs » pour sa filiale russe, reconnaît Luc Nadal, president du directoire, dans un entretien aux echi del 24 marzo. Indépendamment des sanzioni, explique-t-il, le secteur automobile, qui représente les trois quarts de son activité, est frappé par les pénuries de composants électroniques et de métaux et par des ruptures de chaînes d’approvisionnement.

CMA CGM prevede un’acquisizione

Gefco ne réalise certes que 2 % de son résultat operationnel en Russie. Mais qui voudrait recourir aux services d’un logisticien non il principale actionnaire participe de fait à l’effort de guerre russe en acheminant hommes et équipements jusqu’aux frontières de l’Ucraina ? A Parigi, le ministère de l’économie et des finances suit le dossier de près. Una nuova casse-tête pour Bercy, différent de celui des imprese qui, à l’inverse, ont beaucoup investi en Russie, come TotalEnergies dans il gazier Novatek, Société générale dans Rosbank o Renault dans AvtoVAZ.

Debutto 2021, RZD avait décidé de se désinvestir de Gefco, dont Stellantis détient 25% du capital, et même mandaté de grandi banche d’affari per rendere reale l’operazione. Malgré les sanzioni frappant la « SNCF russe », e compris par l’Union européenne, « il n’existe aucune contrainte portant sur la transazione, ni légale ni amministrativo », afferma M. Nadal. Quel sera le nouveau tour de table d’une société revenue, selon son patron, «sul pacco» delle società europee e americane del settore ?

Plusieurs investisseurs sont intéressés, même s’ils se font disccrets en ces temps troublés. CMA CGM prevede un’acquisizione. Numéro trois mondial des porte-conteneurs, l’armateur marsigliese se diversifie à grande vitesse dans la logistica, aidé par son résultat exceptionnel de 17,9 miliardi di dollari (16,3 miliardi di euro) nel 2021. Précision d’importance: pour éviter tout faux pas, il Trésor français informa il redoutable office américain de contrôle des sanzioni de l’avancée du dossier.

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