Dopo il Covid-19 e gli incidenti del 737 MAX, Boeing remet les gaz pour sortir de sa plus grande crisi

Alors que débute ce lundi il salone aeronautico di Farnborough au Royaume-Uni, Boeing tente une nouvelle impulsion pour se dépêtrer de la crisi storica qu’il traverse. Attendu sur des annonces de nouvelles commandes commercialis, Boeing va aussi présenter plusieurs avions dont le MAX 10, dernière et plus grande version de son modèle phare.

Après les incidenti du 737 MAX, il gruppo compte prouver que les déboires de son moyen-courrier sont derrière lui. Cet appareil a été cloué au sol ciondolo da marzo 2019 a dicembre 2020, après deux crashes mortels d’une autre variante du MAX. « La plus difficile de nos crisis est gérée efficament. Ce n’est pas fini », mais le constructeur remet ses avions MAX « en service pour [ses] clienti », indique le directeur général de Boeing, Dave Calhoun, dans un entretien au F parù lundi.

Le sort du MAX 10 in suspens

Depuis le retour dans le ciel du MAX, Boeing s’est efforcé de faire amende honorable auprès des autorités américaines et des régulateurs, reconnaissant partiellement sa responsabilité dans les accidents et versant plusieurs miliardi di dollari versare solder des poursuites. « Sur le MAX, on a passé le cap », curriculum Michel Merluzeau du cabinet spécialisé AIR qui estime toutefois qu’« il reste pas mal de question à résoudre du côté des fournisseurs », liees aux problèmes de laî chanement d’appro aux pénuries de personale et à la crisi ucraina. « On sera limité par les problèmes d’approvisionnement pendant un moment », un reconnu dimanche Stan Deal, presidente della divisione commerciale di Boeing.

Le sort du MAX 10 est égallement entre les mains du Congrès américain, qui doit décider d’ici à fin décembre d’accorder o non une esenzione à une loi imposant de nouvelles normes pour le système page d’alquierte de l’é Una assenza di certificazione implica una formazione supplementare per i piloti, rendant le modèle plus coûteux pour less compagnies, qui pourraient s’en détourner.

Une dette de 58 miliardi di dollari

Sur le marché des gros-porteurs, la plupart des livraisons du 787 Dreamliner sont gelées depuis que des vices de fabrication ont été découverts à l’été 2020. Quant à la futura versione du 777, le 777X, sa certificate a de nouveaus été été nel 2025 per la soddisfazione delle esigenze regolamentari. « Quand on ne produit pas, c’est difficile d’obtenir des commandes», un souligné Stan Deal à propos du 787. Avec 51 avions livrés en juin (dont 43 MAX), Boeing a malgré tout réalisé son meilleur mois depuis mars 2019 .

Pas encore remis de la pandémie et de ses propres tourments, le groupe affiche une santé chancelante. Il a accumulé les charge au premier trimestre (guerre en Ukraine, renégociation du contrat de l’avion présidentel Air Force One, ecc.) et sa dette s’élevait fin mars à près de 58 miliardi di dollari.

« Financièrement, l’entreprise n’est pas dans un rischio esistenziale », rassicura Michel Merluzeau, qui estime que determinati programmi, notamment dans le secteur de la défense, seront rentables sur le long terme. C’est, selon l’expert, le cas du ravitilleur militaire KC-46 ou du MQ-25, futur drone ravitilleur de la Marine américaine. Boeing a égallement des ambictions dans la conquête space. La capsula Starliner, qui trasporta gli astronauti della Nasa rispetto alla stazione spaziale internazionale, una nuova chiave di prova après moult péripéties, mais fait face à SpaceX, l’entreprise d’Elon Musk.