Maggio 2, 2024

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Avec l'initiative #MeTooGarçons lancée par Aurélien Wiik, des hommes ont témoigné par centaines

Avec l'initiative #MeTooGarçons lancée par Aurélien Wiik, des hommes ont témoigné par centaines

Loïc Finance/AFP L'acteur français Aurélien Weik a témoigné jeudi 22 février avoir été victime d'une agression sexuelle dans le cadre de son travail. Depuis, les hommes utilisent #MetooGarçons.

Loïc Finance/AFP

L'acteur français Aurélien Weik a témoigné jeudi 22 février avoir été victime d'une agression sexuelle dans le cadre de son travail. Depuis, les hommes utilisent #MetooGarçons.

#METOO – Après le film pour femmes de Judith Goodrich, l'acteur Aurélien Wake donne la liberté de parole aux hommes. L'acteur de 43 ans a été vu dans mordant, Jeudi, il a été révélé que c'était Il avait été victime de pressions et d'agressions sexuelles dans le cadre de sa profession, et espérait recueillir d'autres témoignages avec le mot clé « #MeTooGarçons ». Son souhait a été exaucé et des centaines d’hommes utilisent désormais ce hashtag sur les réseaux sociaux pour dénoncer les abus qu’ils ont subis lorsqu’ils étaient mineurs.

« J’ai été maltraitée quand j’avais 3 ou 4 ans par un prédateur et je suis morte depuis sans possibilité de justice. » », a révélé le député LFI de Loire-Atlantique Andy KerbratC'était via son compte sur le site X (Twitter) le samedi 24 février. Avant de continuer à s’adresser à des victimes comme lui : « Vous réaliserez de grandes choses, alors continuez à vous exprimer. Si vous le pouvez, allez au tribunal. On ne guérit pas, on se répare. ensemble. »

“Il était plus fort que moi. Je n'ai pas porté plainte.”

Dans ce nouveau mouvement, il n’y a pas que des personnalités publiques ou connues qui ont adhéré à la campagne #MeTooGarçons. Au contraire, ce sont des hommes de la société civile qui se sont appropriés ce hashtag pour en témoigner. Mika en fait partie, dit-il sur X : “La première fois, j'avais sept ans. Cela a duré un an. Il était protégé et tout le monde a menti pour lui. La deuxième fois, j'avais 28 ans. J'ai adoré. J'ai dit non, il a dit oui, il était plus fort que lui. moi, je n’ai pas porté plainte.

“J'avais six ans. Mon cousin en avait 18. Dans la famille, c'était Omerta. Je n'ai jamais cessé de me sentir sale et coupable de ne pas réagir.”» dit Ramir Almeida, aujourd'hui professeur d'éducation musicale.

Dans une série de messages, un autre internaute raconte sa première expérience sexuelle, lorsqu'un homme de dix ans son aîné lui a demandé de se masturber alors qu'il n'avait que onze ans. “devant la caméra”.

Il parle également de sa relation de contrôle avec son premier amour alors qu’il n’avait que 17 ans : « J'ai passé 5 mois (…) à me faire violer tous les jours, c'était ma première fois et aujourd'hui j'essaye encore de surmonter le choc[tisme]Et l’humiliation quotidienne qu’il m’a fait subir et reprendre confiance en moi.Il avoue sa douleur.

“Beaucoup d'hommes se sentent coupés de leur histoire.”

Encore un témoignage très fort, celui de Sebastian Toller, directeur de la communauté LGBT+ de l'ONG Amnesty International, qui met en avant le fait que les relations de contrôle peuvent aussi toucher des personnes proches du sujet. “J'avais 21 ans et mon premier petit ami était gay (…) Pour beaucoup, il était inconcevable qu'un 'homo' puisse être abusé par une autre personne sans pouvoir riposter.” Il a écrit sur X, et en a profité pour ajouter un message pédagogique : « Les rapports sexuels non consensuels sont considérés comme un viol. “C'est aussi simple que cela, il n'y a pas de zones grises.”.

Le réseau social X recense près de 15 000 messages sous ce hashtag, qui figure parmi les mots-clés les plus utilisés ce week-end.

La campagne #MeToo pour les hommes est primordiale pour faire avancer notre société, a jugé dimanche matin Violene De Phillips, avocate et porte-parole.Osez les féministes ! dans le micro BFMTV. “Beaucoup d'hommes se sentent piégés dans leur histoire et n'osent pas s'exprimer, notamment à cause des stéréotypes.” Elle a expliqué.

Pour un auteur Rejeté : Les femmes victimes de violences face à la justice, La liberté d'expression est plus difficile pour les hommes que pour les femmes, notamment en raison de l'éducation des jeunes enfants qui… “Nous grandissons toujours avec l'idée que nous ne devrions pas pleurer, que nous devrions avoir de la dignité et du courage.”

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