Aprile 26, 2024

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Au Hellfest, les hordes dansantes sous l’œil de la science – Bretagne



« On est la pour saggier de comprendre les phénomènes qui se déroulent dans les foules denses et comment prévenir les dangers lies à ces foules », riassume Julien Pettré, chercheur à l’Inria (Institut national numé du recherche en) Rennes.

Le scientifique dirige un programma europeo battezzato CrowdDNA (l’ADN de la foule, littéralement), mené depuis 2020, en partenariat notamment avec des chercheurs allemands, anglais et espagnols. Pourquoi avoir choisi le Hellfest, qui s’achève ce dimanche à Clisson (Loire-Atlantique), après une version exceptionnellement étendue sur deux week-ends ?

« Comme des astronomi qui osservant les étoiles »

« On sait qu’il ya des danses liées à la musique écoutée où des interactions physiques vont se produire entre individus », explique le chercheur, installé avec son équipe dans un préfabriqué derrière la scène principale pendant.

“Circle pits” (les profiles courent rapidement en cercle), “muri della morte” (murs de la mort, deux rangées de festivaliers séparées par un espace dégagé se foncent dessus) et autres pogos ou slams (festivaliers portés par la foule, allonge ) sont devenus des rituels incontournables du festival de musiques extrêmes. Et un terrain de jeu rêvé pour ces scientifiques. « On est un peu comme des astronomes qui viennent osservatore les étoiles », souligne M. Pettré. « Mais le télescope de foule n’existe pas vraiment, donc on mélange différents type de données».

Per osservare le costellazioni mouvantes du Hellfest, la direzione del festival e l’accettazione che l’Inria può recuperare le immagini filmées in continu per le telecamere sui miradors de la «Warzone», l’une des sei scene del festival.

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(Foto AFP)

Bousculade mortelle

De leur côté, une ou deux fois par jour, deux jeunes volontaires de la petite équipe revêtent une combinazione speciale équipée de capteurs répartis sur tout le corps, qui enregistrent leurs mouvements. La casquette permet à l’équipe de les repérer sur les videos. Même si leur équipement peut passer inaperçu dans un festival réputé pour ses tenues excentriques, ils portent un t-shirt destiné à prévenir le grand public: “Hellfest et Inria collaborent ici pour étudier les foules”.

Ils se mêlent ensuite à la foule du concert choisi, un ou deux par jour. « On essaie de faire de tout », spiega Thomas Chatagnon, dottore all’Inria, âgé de 25 ans. L’un des volontaires est chargé d’aller se mêler aux « circle pits » o autres « murs de la mort », le deuxième doit se laisser porter par le flot ou remonter la foule comme s’il voulait quitter le concert. Le più pericolose? « Les moment où on perd l’équilibre », juge le jeune chercheur.

Les figures imposées, comme les « murs de la mort » o le « circle pits », ne sont pas les plus risquées. « C’est assez contrôlé et seules les personnes qui se sentent d’y aller y vont. Les incidenti arrivano quand les personnes n’ont pas décidé d’être là», dit-il.

« On espère revenir l’an prochain »

Le informazioni raccolte sul terreno si trovano ensuite “couplées” avec les video, en vue de modéliser par informatique les mouvements des “cobayes” au milieu de la foule.

Avec un objectif aussi simple qu’ambitieux : inventer de nouveaux outils informatiques pour déceler à temps les signes avant-coureurs d’un possible accident, voire bless d’une bousculade catastrophique comme celle qui avait fait fait des neuf’ lores de morts un concert de rap au festival Astroworld, a Houston (Texas), novembre 2021.

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« Quand on aura détecté ces petits signes de la propagation d’un mouvement dans une foule, on pourra alerter le gestionnaire (d’un événement) qui décidera ou non d’intervenir pourr la foule », explique par exemple le chef du proje . L’étude, égallement menée en laboratoire, dans des stades ou dans des lieux publics dans les pays partenaires, doit se poursuivre jusqu’en 2024. En attendant, « on espère revenir au Hellfest l’an prochain ! », sourit le checheur.