Le « New York Times » s’offre « Wordle », un jeu de lettres en ligne

Le phénomène n’avait pas échappé au New York Times. Le quotidien américain an annoncé, lundi 31 janvier, l’acquisizione, versare più milioni di dollari, de parola, jeu en ligne pratique par plusieurs million d’internautes.

Créé par l’ingénieur Josh Wardle, il consiste à découvrir un mot de cinq lettres en six essais seulement. La plate-forme ne met en ligne qu’un seul mot par jour.

Selon le New York Times, le jeu, lancé en ottobre 2021, ne comptait que 90 joueurs en novembre. Au début de janvier, ils étaient plus de 300 000 et, précise le groupe, « des million de personnes jouent aujourd’hui quotidiennement » un parola, racheté versare « une somme à sept chiffres », inférieure à 5 milioni di dollari (4,5 milioni di euro).

Un abonnement spécifique jeux

L’acquisizione s’incrit dans le cadre de la diversification du New York Times, qui proporre déjà un abonnement aux jeux, avec, en vedette, les mots croisés, un service qui a franchi, en dicembre 2021, le million d’abonnés, selon un communiqué publié lundi.

Sur les neuf premiers mois de l’année 2021, i prodotti autres que l’information ont représenté 11% du chiffre d’affaires de l’entreprise. Outre les jeux, ils comprennent notamment un abonnement payant aux recettes de cuisine (NYT Cooking) o la plate-forme audio Audm, égallement disponible par abonnement.

« [Wordle] a fait ce que peu de jeux ont réussi avant lui : il a capté notre imaginaire collectif et nous a un peu rapprochés les uns des autres », a commenté Jonathan Knight, manager generale del New York Times Games, cité dans le communiqué.

Le New York Times un’integrazione expliqué qu’après son Wordle demeurerait gratuit pour tous les joueurs, anciens ou nouveaux, et a assuré que sa configuration ne serait pas modifiée.

« J’admire depuis longtemps l’approche du Volte et la qualité de leurs jeux, ainsi que le rispetto avec lequel ils traitent les joueurs, un déclaré le créateur de Wordle, Josh Wardle, cité dans le communiqué. Leurs valeurs corrispondente aux miennes. » Britannique residente a New York, Josh Wardle avait initialement décidé de ne pas monétiser le jeu avec de la publicité ou un abonnement, avant de le vendre au New York Times.