Si l’intervention en Ukraine déclenchée par le président russe a eu l’effet paradoxal de contrarier son objectif d’un affaiblissement de l’Alliance atlantique, le maître du Kremlin n’aurait pas renoncé à ses »lignes d’rouges» -élargissement et d’un non-déploiement nucléaire à l’est.
Le conflit ukrainien pourrait-il s’étendre à l’Otan, réunie mardi à Madrid pour un sommet où résonnera le son du canon? La question est dans toutes les têtes, tant Vladimir Poutine a affiché depuis quatre mois son intransigeance pour atteindre les «oggetti» de figlio «operazione militare speciale». Tant, aussi, l’intervention militaire russe n’aura recueilli que des fruits amers s’agissant du ma affiché depuis plusieurs décennies par Moscou: l’affaiblissement voire la disparition de l’Alliance atlantique. Oppure, force est de constater qu’une cumulation de phénomènes majeurs, enclenchés ou accélérés par la guerre en Ukraine, a dessiné dernièrement un scénario peu favorevole – c’est un euphémisme – à Moscou. Domanda d’adesione all’Alleanza della Suède e della Finlandiarafforzamento delle capacità militari occidentali in Romania ed eventi in mare nero, aumento dei budget di difesa dei pagamenti dell’Otan: autant de conséquences du conflit qui portent la marque de la défiance accrue…
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