Aprile 24, 2024

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quand la coopération spaziale se brise sur la guerre in Ucraina

Le 24 février, Dmitri Rogozine, le bouillant patron de Roscosmos, l’agenzia spaziale russa, a lancé quelques ogives sur Twitter au moment l’armée de son paga commençait à faire de même sur le terrain. « Si vous bloquez toute coopération avec nous, qui sauvera l’ISS d’une desorbitation et d’une chute sur les États-Unis ou sur l’Europe ? » Provocante, l’interpellation fait référence au partage des rôles dans la station. Les Russes corregge la traiettoria dell’ISSgrâce à la poussée de leurs vaisseaux qui s’y arriment (Progress et Soyouz…

Le 24 février, Dmitri Rogozine, le bouillant patron de Roscosmos, l’agenzia spaziale russa, a lancé quelques ogives sur Twitter au moment l’armée de son paga commençait à faire de même sur le terrain. « Si vous bloquez toute coopération avec nous, qui sauvera l’ISS d’une desorbitation et d’une chute sur les États-Unis ou sur l’Europe ? » Provocante, l’interpellation fait référence au partage des rôles dans la station. Les Russes corregge la traiettoria dell’ISS grâce à la poussée de leurs vaisseaux qui s’y arriment (Progress et Soyouz). Sans cette manœuvre à quelque 400 kilomètres d’altitude, elle perdrait de l’altitude et finirait par rentrer dans l’atmosphère et s’y abîmer. « Il serait très difficile pour nous d’opérer seuls », concède Kathy Lueders, la directrice des vols habités au sein de la NASA, l’agence spaziale americana.

Si le partinariat internazionali n’en est pas à ce point de rupture, on peut légitimement s’interroger sur la suite des évènements. Fruit d’une entente entre les États-Unis, le Canada, le Japon, l’Europe via son agence spaziale (l’ESA) et la Russie, l’ISS comprend un imposant segment russe, fabriqué, assemblé et exploité sous l’ égide de Roscosmos. Il arrive en fin de vie. Avant même il debutto della crisi ucraina, i Russes réfléchissaient à quitter l’ISS a partire dal 2025 alors que leurs partenaires souhaitent prolonger la cauzione jusqu’à 2030.

En attendant, la-haut, il faut bien s’entendre

En attendant, la-haut, il faut bien s’entendre. L’équipage de l’expédition 66 actuellement en orbite est composé de quatre Américains, due russi et un Allemand, Matthias Maurer, pour il compte de l’ESA. «Les équipes se parlent toujours», assicura la NASA. Mais Roscosmos a interrompu des expériences scientifiques communes à la Russie et à l’Allemagne. Jusqu’à ce jour, l’ISS restait le symbole de la concorde est-ouest après quarante ans de guerre froide. Concorde qui avait toujours perduré dans l’espace depuis les années 1990, meme dans les pires moment de tension geopolitique.

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Arianespace perd le lanceur Soyouz

La guerra in Ucraina aussi des répercussions sur le plancher des vaches, celui du Centre spazial guyanais (CSG), étiré entre Kourou et Sinnamary. Moins connu en France que les pas de tir de Kourou d’où décollent les fuses Ariane et Vega, celui de Sinnamary, à une vingtaine de kilomètres, est réservé au lanceur Soyouz. L’inusable fusée russe complète la panoplie d’Arianespace depuis son premier tir, le 21 October 2011. Complétait. Le 4 mars, un comunicato della società francese conferma “la decisione unilatérale de Roscosmos de sequel di CSG e de suspendre les lancements Soyouz depuis le portspacel de l’Europe”.

Pour la place d’Arianespace sur l’échiquier hyper-concurrentiel des lancements de satellites scientifiques et commerciaux, le coup est rude. Avoir guidé de main de maître le télescope spaziale James Webb verso la destinazione del giorno di Noël ne suffit pas à remplir les obblighi qui procèdent du carnet de commandes. Il faut des lanceurs multitâches pour tenir la cadence. C’est Soyouz qui a insi envoyé en orbite la maggior parte dei satelliti della costellazione di Galileo, le concorrenti europee del GPS americano. Son déploiement n’est pas terminé.

Una semplice situazione di stallo per la costellazione dei satelliti di telecomunicazione OneWeb, che si trova in un servizio di copertura Internet sul modello di Starlink di SpaceX, la società americana di Elon Musk. Opérés par Starsem, una società a capitale europea (Arianespace et ArianeGroup) e russes, les lanceurs Soyouz ont emporté plus de quattro cents satelliti OneWeb depuis les ports spatiaux de Guyane, de Baïkonour (Kazakistanie et) . Le dernier envoi est tout frais. Le 10 ferie, Soyouz a réussi sa 27e mission depuis Sinnamary en deposant en orbite 34 nuovi robot della costellazione.

Satelliti a due centesimi OneWeb attendant leur tour

Comme pour Galileo, les travaux ne sont pas terminés. Satelliti a due centesimi OneWeb attendant leur tour. Trente-sei d’entre eux auraient dû partir le 5 mars sous la coiffe d’un Soyouz à Baïkonour. Dmitri Rogozine, toujours lui, en a décidé autrement. Le patron de Roscosmos an exigé que l’État britannique se pensioned du capital de OneWeb, dont il détient plus de 17%. Londra rifiutata. Soyouz n’a pas allumé les moteurs.

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La catastrofe industriale per ExoMars

Sur le registre de l’exploration space, c’est une véritable catastrophe industrielle qui point pour l’ESA. ExoMars, l’une des missions européennes les plus ambieuses, est encalminée. Sviluppo avec Roscosmos, son premier volet a été exécuté nel 2016.

Aujourd’hui, le malheureux rover n’a plus ni véhicule pour le transit vers Mars

Il satellite Trace Gas Orbiter, incaricato di studiare l’atmosfera di Marte, è un’été propulsé contro la planète rouge a bordo di un fusée russe Proton. Un atterrisseur expérimental, Schiaparelli, l’accompagnait. Il s’est écrasé au sol.

Il rover Rosalind Franklin della missione ExoMars de l’ESA, ici sur sa plateforme dans les locaux de Thales Alenia Space, a Cannes, nel 2020.

Spazio di Thales Alenia

Après moult retards, le second étage d’ExoMars devait enfin sortir de l’ombre cette année. Un autre lanceur Proton était programmé pour importare il rover europeo Rosalind Franklin, conçu pour forer le sol martien à deux mètres de profondeur et analizzatore les échantillons recueillis. Sa downe en (relative) douceur reposait sur l’efficience du module russe d’attterrissage Kazazok. Aujourd’hui, le malheureux rover n’a plus ni véhicule pour le transit vers Mars, ni atterrisseur. « Un lancement en 2022 est très improbable », admet l’ESA avec un sens aigu de l’euphémisme. Quittera-t-il un jour la Terre ?