Marzo 19, 2024

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TotalEnergies stoppe ses achats de pétrole et produits pétroliers russes

L’azienda viene utilizzata per TotalEnergies, isolata dalla strategia di manutenzione delle sue attività in Russia dopo gli investimenti nella catena di grandi produttori occidentali, da BP a Shell e passante per Exxon. Il ya quelques jours, le candidat EELV à l’élection présidentelle, Yannick Jadot, allait même jusqu’à accusatore l’entreprise tricolore de complicité de « crimine di guerra », tandis que les ONG ecologists multipliaient les mobilisations, bien décidées à faire plier son PDG, Patrick Pouyanné.

« Face à l’aggravation du conflitto », et sans doute, par ailleurs, à la tempête médiatique qui l’accompagne, TotalEnergies a insi fait valoir ce mardi par voie de communiqué qu’il arrêterait tout achat de pétrole ou produits pétroliers « au plus tard à la fin de 2022 », alors même que l’Union européenne n’a pas imposé d’embargo sur l’or noir. Mais également qu’il engagementrait la « sospensione progressiva delle attività » dans le pays di Vladimir Poutine, et qu’il n’apporterait « più il capitale per lo sviluppo dei progetti in Russia ». Serate notamment concerné le mégaprojet d’usine de gaz naturel liquéfié (GNL) Artic LNG 2, dont la mise en route était jusqu’alors prévue pour 2023 pour une capacité, à terme, de près de vingt million de tons.

Dès le 7 mars, Patrick Pouyanné avait déjà assuré que « [s]es traders (des activités de marché du groupe, ndlr) ne [prenaient] plus de pétrole russe depuis il debutto de la crisi ». Mais l’annonce de ce mardi va plus loin car elle concerne les contrats d’approvisionnement dans l’or noir.

Il gruppo continua d’onore ses à longs termes à Yamal

Neanmoins, pour le gaz, le géant pétrolier « continua a garantire l’approvisionnement de l’Europe en GNL à partir de l’usine de Yamal LNG », ce site géant de liquefaction de gaz dans le nord du pays qui produit depuis décembre 2017 pres de 18 million de tons de GNL par an, et représentait 16,6 % de la production annuelle de gaz de TotalEnergies en 2020. Et pour cause , l ‘impresa « se trouve liée par des dans le cadre de contrats longs termes qu’elle se doit d’hononorer tant que les gouvernements considèrent que le gaz russe est nécessaire », preciso TotalEnergies dans son comunicato.

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Per questo motivo, il gruppo ha incontrato in anticipo la decisione dell’Unione europea di manutenzione, a questo punto, l’approvazione e la guerra in Russia in Ucraina. De fait, Moscou continue d’alimenter abondamment en combustibles fossiles le Vieux continent, qui lui a fourni en échange près de 17 miliardi di euro depuis le début du conflit, le 24 février dernier.

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Pas de cession des partecipazioni dans les actifs gaziers

Pour rappel, c’est le gaz et non le pétrole qui représente plus de 80% de la production d’hydrocarbures de TotalEnergies en Russie (le pays de Vladimir Poutine en possède les premières réserves prouvées dans le monde). Concrètement, il groupe détient e una partecipazione del 19,4% dans le numéro deux du gaz russe, Novatek. En tout (c’est-à-dire en comptant ses parts dans Novatek), il possède par ailleurs 29,7% de Yamal LNG, et 21,64% de Arctic LNG 2.

Dans ces condition, TotalEnergies ne compte pas abandonner ses parts de si tôt, étant donné que le « contesto effettivo [l’]empêcherait de trouver un acheteur non russe pour reprendre ses partecipazioni minoritaires en Russie »

« En outre, abbandonare la partecipazione dans lesquelles TotalEnergies è un actionnaire minoritaire n’aurait aucun impact sur le funzioni delle sociétés concernées et donc sur leurs revenus puisque ces sociétés disposent de leur manété propreè gé été le leur manété regé personal » .

Un territorio strategico per TotalEnergies

Resta que l’impatto serait égallement maggiore per TotalEnergies. Car si le groupe réalise en Russie seulement « dal 3 al 5% » de ses revenus, avait minimisé fin février Patrick Pouyanné, il territoire russe était jusqu’alors éminemment stratégique pour TotalEnergies, qui s’y était engagé dans une vision de long cours.

« Selon son PDG, si l’on veut réussir à sortir du pétrole, il faut se tourner vers les énergies renouvelables mais aussi vers le gaz. Le GNL russe représente donc une activité majeure dans son plan vers la transition, et s’en désengager aujourd’hui n’est pas du tout en ligne avec sa strategia di lungo termine! », glissit une source proche de l’entreprise à La Tribuna debutto marte.

En témoigne son investissement financier faramineux en Russie : en tout, le groupe ya investi près de 20 miliardi di euro, soit bien plus qu’ailleurs. Ainsi, au 31 dicembre 2020, Total détenait 24% de ses réserves prouvées en Russie, d’où provenaient égallement 16,6% de la production combinée de liquides et de gaz du Groupe en 2020, soit deux fois plus qu’en 2012.

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