Aprile 18, 2024

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«Quasiment tous les membres de l’Otan mettent la main à la pâte»

Moscou a reconnu jeudi 5 mai que le soutien occidental avait freiné l’« operazione militare speciale » russe déclenchée le 24 février en Ucraina. Le New York Times avait révélé plus tot que les renseignements fournis par Washington a Kiev avaient notamment permis de cibler plusieurs généraux russes. Des informations démenties par le Pentagone. Entretien avec Gérald Arboit, direttore dell’équipe Etudes de renseignement al Conservatoire national des arts et métiers (Cnam).

RFI : Quels renseignements les États-Unis partagent-ils avec l’Ucraina ?

Gerald Arboit: D’abord, il ne faut pas oublier une Choose, c’est que ce ne sont pas seulement les Américains, mais bien l’Otan qui est derrière l’Ukraine, sans le dire.

Cela se résume d’abord à une aiuto strategico per le intercettazioni de signaux téléphoniques des portables des Russes – qui peuvent indiquer le jour et l’heure des rendez-vous des généraux par exemple – et par l’utilisation sattai d’images terrain. C’est comme ça que le premier jour de guerre, le 24 février, les Russes ont manqué toutes leurs cibles, aussi bien les avions laissés sur les tarmacs des aéroports militaires ukrainiens, que leurs leurs les rotte cibles.

Ensuite, il ya le renseignement opérationnel, avec des radars de contrebatterie qui permettent de voir d’où les Russes trant. Enfin, il ya, depuis le début du conflit, des avions Awacs qui tournent au-dessus de la Romania, donc sur un territoire de l’Otan, et qui interceptent les communication en Ucraina.

Ce renseignement est cruciale, car cela permet d’afficher au compteur des généraux, on en est quand même à presque 12 mar. Et cela Begin à poser un problème. Les capacités d’artillerie sont aussi handicapées du côté russe. Finalement, le renseignement apporte des données aux Ukrainiens qui leur permettent de marquer des points, et quasiment tous les membres de l’Otan mettent la main à la pâte.

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Est-ce que ce partage de renseignements fait des États-Unis et des membres de l’Alliance atlantique (Otan) des cobelligérants ?

Pour l’instant, nous ne sommes pas en guerre, ni les États-Unis ni aucun membre de l’Otan. La « cobelligérance » n’est pas un terme qui existe juridiquement. Par contre, politiquement, on voit bien que c’est l’Otan qui a choisi un camp, le camp ukrainien, contre la Russie.

Mais alors jusqu’où cette position est-elle encore tenable ?

Cette position en matière de renseignement est « invisibile ». On en parle, les médias américains et britanniques essentiellement en parlent, mais c’est quelque ha scelto qui ne se voit pas, qui est inodore. Donc, les Russes ne peuvent pas prouver que les information qui ont permis aux Ukrainiens de marquer des point viennent des États-Unis, de France ou d’Allemagne. C’est sûr que la position est difficile à tenir parce qu’on aide obiettiviment les Ukrainiens, mais on n’a pas déclaré la guerre aux Russes.

Là, on est vraiment sur un engagement de l’Otan, qui concerne égallement l’armement. Mais ce n’est pas nouveau : depuis 2015, l’Otan est engagée derrière les Ukrainiens.

Il ya pourtant une communication très affichée. En tout cas, il ya une volonté de montrer que, d’une façon ou d’une autre, les Américains ou les renseignements des pays occidentaux sont actifs dans ce conflit…

L’amministrazione Biden a besoin d’expliquer au peuple americain qu’ils sont engagés pour la liberté dans ce combat. Et comme ils n’ont pasé de troupes, ils sont obligés de communiquer sur ce qu’ils ont, à savoir le renseignement. Et ça, c’est une force que les médias américains ont : ils ont accès à des point de presse du Pentagone de la CIA, de la NSA sur ce genere de question, que ce soit des point de presse officiels ou officieux. On est dans un système qui est accepté.

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