Aprile 18, 2024

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pourquoi la maladie comporte des risques pour la santé à long terme, même dopo le forme leggere

“Vivre con il virus.” Quand il est apparu, ce slogan décrivait un futur lointain. Il curriculum désormais l’attitude adoptée dans la plupart des pays d’Europe, dont la France, où les restrizioni sanitarie ont quasiment disparu. Plus de 130 000 personnes sont testées positives au Covid-19 chaque jour, un total jamais atteint avant la fin de 2021, mais le sujet a disparu du debat public. Pourtant, le virus n’a pass cessé d’être Dangereux. Il tuo toujours 101 personnes par jour en moyenne, pour la plupart vulnérables ou non vaccinées. Une série d’études récentes a en outre levé le voile sur ses effets à long terme : après une infezione, le risque d’autres pathologies augmente, même pour grave ceux qui ne présentent pas de facteur de risque sviluppare, ne ne sont pas touchés par le Covid lungo.

En avril 2021, une première étude de trois chercheurs de l’Université de Saint-Louis (Etats-Unis), pubblica per la rivista Natura*, identifiait une myriade de problèmes de santé qui touchaient plus fréquemment les personnes ayant eu le Covid-19. Grâce à une vaste base de données de santé de vétérans de l’armée americaine, les auteurs avaient comparé près de 5 million de non-malades et 77 000 personnes testées positives, à partir du trentième jour dopo l’infezione Cinq mois plus tard, elles présentaient davantage de troubles respiratoires et souffraient aussi plus de “troubles du système nerveux et neurocognitive, de la santé mentale, du métabolisme, cardiovasculaires, gastro-intestinaux, malaises, fatica, douleurs musculosquelettiques et anémie” que les personnes au profil similiire n’ayant jamais été testées positives. Même les malades non hospitalisés présentaient ce risque de séquelles.

Depuis, cette base de données a servi à plusieurs études de la même équipe, dont une portant sur les risques cardiovasculaires, publiée en février dans Natura*. “Elle montre un risque multiplié par 1,5 ou 2 sur tous les événements”, passa seulement le infiammazioni cardiache bien connues chez les malades du Covid-19, osserva Ariel Cohen, antico presidente della Société française de cardiologie. Chez les personnes testées positives (plus de 150 000 ont été observées), le risque d’AVC est ainsi multiplié par 1,52 dans l’année suivant l’infection, le risque d’embolie pulmonaire par 2,93, celui de syndrome coronarien aigu par 1,72.

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“Au début de la pandémie, on pensait que le Covid-19 était simplement une source de décompensation des risques existants”, vedi il souvient Ariel Cohen. C’est-à-dire que des personnes prédisposées à ces problèmes les déclaraient à l’occasion d’une infezione da le Sars-CoV-2. Les résultats de ces chercheurs américains sont “non sorprendente”reconnaît-il.

“Cette étude montre qu’il ya un osé aggravé lié à l’infection elle-même et qu’il ne s’éteint pas avec le temps comme nous le pensions.”

Ariel Cohen, antico presidente della Société française de cardiologie

a franceinfo.fr

Si la façon dont le virus entraîne de telles séquelles n’est pas tout à fait claire, l’observation des malades a déjà montré “que le virus attaque la paroi des vaisseaux sanguins”ce qui favorise notamment l’apparition de caillots, explique Olivier Robineau, infectiologue à l’hôpital de Tourcoing (Nord).

Les malades guéris du Covid-19 présentent égallement un risque plus élevé de développer des pathologies liées aux reins, selon une étude de la même équipe américaine, publiée en novembre dans le Giornale della Società americana di nefrologia*. Les données pointent en particulier un rischio d’insuffisance rénale terminale multiple par trois chez les anciens malades du Covid-19 (et par 2,15 chez ceux qui n’ont pas été hospitalisés). En effet, parce qu’il crée des problèmes vasculaires, le virus peut affettier un grand nombre d’organes. “Tous ces organes sont vascularisés. Dès l’instant où la fonction de l’artère est altérée, il ya un risque qu’ils soient ateints”explique le cardiologue Ariel Cohen.

Dans l’esprit du grand public, le Covid-19 est davantage associé à des symptômes comme la perte du goût et de l’odorat. Mais ceux-ci soulignent que le virus touche aussi le cerveau et le système nervoux. Les malades du Covid long rapportent notamment des hardés à se concentrer et une form de “brouillard mental”. Une étude sur le cerveau de singes infectés par le virus, publiée le 1er avril dans Comunicazioni sulla natura*Montrait des atteintes “pouvant mener”. [à ces] sintomi neurologici a lungo termine del Covid lungo”y comprende chez les animaux n’ayant pas développé une form sévère.

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“Des chercheurs alertent sur un risque de démences” favorisées par les dégâts engendrés par il virus, rapporte Olivier Robineau. Les auteurs d’un article publié per la rivista Scienza* en janvier, notent que les atteintes observées chez certes malades “Soulèvent la possibilité que l’infection puisse accélérer ou déclencher le développement futur de malades neurodégénératives comme les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson”.

Cette hypothèse reste pour l’instant plus floue que celle de problèmes cardiovasculaires, nuance Olivier Robineau, qui rapelle que ces troubles mettraient des années à apparaître. Les données de santé des vétérans américains concluent cependant à un osé accru de déclin cognitif (multiplié par 1,8) o de dépression (multiplié par 1,39) dans l’année suivant l’infection fétée par 1, selon paris 16 le Giornale medico britannico*.

Cette approche statistique a des limit. Une dernière étude de ces données, publiée le 21 mars dans La lancetta*, osserva que les personnes guéries du Covid-19 ont plus de chances (+40%) de développer un diabète de type 2 dans l’année qui suit. La pandémie laissera “Un patrimonio di malattie croniche”afferma il figlio d’autore principale, Ziyad Al-Aly, dans Natura*. Eric Renard, vicepresidente de la Société francophone du diabète, n’y voit pas d’indication que le virus lui-même provoque du diabète.

“Le lien le plus évident est un lien de révélation. Le Covid-19 stresse l’organisme, ce qui peut révéler un diabète latent.”

Eric Renard, vicepresidente de la Société francophone du diabète

a franceinfo.fr

La possibilité que le virus ne soit qu’un déclencheur est reconnue par les scientifiques américains et corrisponde à ce qui est observé après d’autres infezioni. Eric Renard ne croit pas au risque d’une épidémie de diabètes de type 2: “Ces pazienti auront simplement découvert leur diabète de façon abitauelle, avec un traitement à l’insuline d’emblée, mais ils rentreront dans le rang.” L’étude a pour mérite, juge-t-il, d’attirer l’attention des médecins sur l’interêt de mesurer la glycémie des personnes guéries du Covid-19, surtout si elles présentent d’autres facteurs de risque du diabè

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“Il faut rester serein”, plaide l’infectiologue Olivier Robineau. Gli studi recenti montrent “un sur-risque indiscutibile” de certees pathologies pour les malades du Covid-19, “mais sur des événements qui restent rares. On ne va pas avoir une épidémie d’embolies pulmonaires.” Il rappelle aussi que d’autres éléments, comme le tabac et l’alimentazione, sont des facteurs de risque qui pèsent bien plus lourd dans le développement de maladies cardiovasculaires, par esempio.

“Il n’y a pas de raison d’affoler les gens chez qui l’infection s’est résorbée et qui vont parfaitement bien”ajute Jérôme Larché, référent pour le suivi du Covid long en Occitanie. “Semplice, il faut les incoraggiar à consulter s’il ya un souci.” Avant de surveiller toutes les personnes guéries du Covid-19, il faut déjà identifier et orienter celles qui font face à des symptômes prolongés, un “grande sfida”, explique-t-il. Une autre priorite “est de rattraper le retard de price en charge de beaucoup de pazienti à cause de la pandémie”rappelle il cardiologo Ariel Cohen.

L’étude des séquelles du Covid-19 n’en est par ailleurs qu’à ses débuts. D’autres travaux devront les confirmer et affine la mesure des risques entraînés par le Covid-19, sur des peoples plus raprésentatives que les vétérans de l’armée americaine, un public plus âgé et masculin que la moyenne.

Ces risques du Covid-19 restent par ailleurs, selon ces memes études, propornels à la gravité de la maladie: un constat rassurant alors que l’essor du Omicron et de la variant vaccination ont diminué la part des malades sévèrement atteints. Mais pour Jérôme Larché, ce que l’on sait des séquelles Incoraggia “activer tous les leviers possibles pour éviter d’être contaminé, du vaccin au port du masque”. “Le Covid-19 est tout sauf une petite infezione passagère et sans conséquences”rappelle-t-il.

* Les liens suivis d’un astérisque dirigent vers des publications en inglese.