L’annonce a été faite peu avant 20 heures au Forum du Centre Pompidou, le lundi 17 octobre, par Xavier Rey, directeur du Musée national d’art moderne, en compagnie de Claude Bonin, président de l’Association des collectionneurs de l’Adiaf. Pour l’édition internationale d’art français. Mimosa Echard remporte la 22ème placee Le Prix Marcel Duchamp, le plus célèbre de la scène française en matière d’art contemporain, qui récompense un artiste en milieu de carrière.
L’œuvre luxueuse de l’artiste est constituée d’une grande fenêtre panoramique, qui est aussi une image en mouvement perpétuel, brouillée par un flux translucide ininterrompu, et à travers elle on peut discerner un mélange de détails assez proches et donc plus ou moins reconnaissables. : télé, lumières, faux cils, poème collé au verre sur un corps un peu cyborg dans une planète détruite, graines, dentelle de plastique…
Le plasticien met ce dispositif en état de transformation, tout en fluides fluides et contrastés, organiques ou synthétiques, tels que “Objet architectural mystérieux”Mile-“machine lacrymale” MileÉcran de désir. “J’ai trouvé intéressant de faire une pièce à la fois bidimensionnelle et tridimensionnelle, qui soit comme une peinture fluide et en même temps un espace, intime, mais qui ait quelque chose d’assez muséal. Cette pièce pour moi est liée à la perception, c’est comme plonger dans l’œil, dans l’écran “Captivée par l’artiste, elle s’est émue à la fin de l’annonce.
« Les discussions ont été très longues et très animées.a déclaré Xavier Rey avant d’annoncer le nom du gagnant. La tête du jury était entourée de six personnes, trois représentants d’institutions – Cécile Debray, présidente du Musée national Picasso, Elsie Lanner, conservatrice du musée Albertina à Vienne (Autriche), et Akemi Shiraha, de la Société Marcel Duchamp. – et trois collectionneurs, Claude Bonin pour l’Adiaf, Pedro Barbosa (Brésil) et Nathalie Mamani Cohen (France).
Dans l’après-midi, le jury international a voté, suite aux présentations des deux artistes rapporteurs, Gilles Gasparina, critique, curateur indépendant et professeur associé à la HEAD-Genève (Suisse), pour Mimosa Echard ; Catherine Weir, directrice du musée Madre, à Naples (Italie), sous l’autorité d’Ivan Argot ; Julian Fronsack, conservateur en chef au Musée d’art moderne et contemporain de Genève (Suisse), à Philippe Decrozat ; et Nadia Yala Kisukidi, maître de conférences en philosophie à l’université Paris VIII, Vincennes Saint-Denis, par Julia Andriani.
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