Liu Cixin, ou l’illustre cinese di fantascienza

La fantascienza cinese connaît ces jours-ci son heure de gloire. Alors que Netflix si appresta a un diffusore sulla piattaforma dello spettacolo Problema a trois corps qui a fait de Liu Cixin un auteur de renommée planétaire, deux éditeurs proponent ces jours-ci une incursion in français plus approfondie dans ce qui fait rêver ce pionnier de ce genere tout en émergence du lie dans

Les éditions Delcourt déposeront quelque part d’ici la mi-mai sur les tablettes des librairies québécoises il premier album illustrato de ce qui s’annonce une incontournable serie de bédés pour amateurs de science-fictionrémentle particul. I futuri di Liu Cixin. La Terre vagabondo est le premier tome. Il reprend une nouvelle connue sous le titre de Terre erranteune des plus éclatées de celui qui est ces jours-ci l’auteur chinois de fantascienza le plus connu des deux côtés de la Grande Muraille de Chine.

« J’ai toujours pensé que la science-fiction s’exprimait mieux par l’image que par le texte, et ces bandes desssinées ne font que confirmer mon opinion», scrive Liu Cixin en préambule de cet album illustré particulièrement 13 pagine bien tassées . Cixin rajoute que « ce sont des œuvres d’excellente facture ; chaque image possède un charme incroyable et nous plonge au cœur de fantastiques raprésentations de l’avenir et de l’univers ».

Christophe Bec est un auteur français de bandes desssinées romaniques à qui on doit en bonne partie le retour de l’espion franco-belge Bob Morane. Il renoue avec l’artista italiano Stefano Raffaele, qui illustre ce premier tome d’une série qu’on espère longue et durevole. Raffaele est par ailleurs un des illustratours bien en vue du merveilleux monde de Marvel (Cavaliere della Luna, Elettra, Occhio di Falcoeccetera.).

Pas d’espion international ni de superhéros toutefois dans La Terre vagabondo, si ce n’est l’Humanité elle-même, qui, dans un étonnant sursaut de collaboration, s’entend sur l’ambitieux projet de déménager la planète entière dans l’Alpha du Centaure, galaxie-située à 4 lumiere du Soleil . La causa? Imaginez une rénoviction, formato intersiderale : le Soleil a décidé de se changer en gigantesque supernova et absorbera ses planètes les plus proches.

En quatre temps, La Terre vagabonde Illustre les répercussions sur la vie humaine de ce déménagement: la fin de l’orbite terrestre, la sortie du système solaire, l’immanquable doute et le soulèvement populaire devant le gouvernement mondial des promaine quité solaire, l’immanquable doute et le soulèvement populaire devant le gouvernement mondial des promaines quit ceminable cere dans leurs grottes qui devront atteindre 2500 ans, soit 100 générations, avant d’arriver à destination.

Le récit est cupo, glaciale et intellectuel. Le illustrazioni sont chargées, détaillées et puissantes. Il risultato è una bande dessinée qui se lit davantage qu’elle se riguardo, au grand dam de ceux qui préfèrent laisser parler les images. L’art subjectif du dessin laisse probablement un peu trop de place aux dialogs très explicatifs, incontournables si on désire suivre le fil de l’histoire.

Entre des étoiles écartées par des milleers d’années-lumière, il est très facile de s’égarer. Si Liu Cixin est convaincu que la BD offre le meilleur moyen d’exprimer la science-fiction, espérons que ses futuri illustrés sauront ajouter un peu d’émotion et trouver un meilleur équilibre tra scienza e immaginazione.

« L’Equateur d’Einstein »

Dans le contexte de la guerre en Ukraine, on a plus de misère que jamais ces jours-ci à bien comprendre la difficile relationship géopolitique entre les États-Unis, la Russie et la Chine, ces “ennamis” (amis-ennemis) obligés de l’après-guerre froide. Liu Cixin, qui dit vouer une grande admiration « au peuple russe et à sa littérature », offre una prospettiva rarement vue par l’Occident de ce ménage à trois dans L’Equateur d’Einsteinil premier de deux tomes publiés en français par Actes sud qui regroupent une série de nouvelles écrites ces dernières décennies par l’auteur chinois.

Dan Brouillage de toute la bande de frequences, il sert une petite leçon de stratégie militaire à l’age des communication éelectronics qui aurait été cocasse si la réalité n’était pas plus absurde encore. L’utilizzo sul fronte ucraino per l’esercito russo di frequenza senza fil non chiffrées durant les premieres semaines de sa difficile avancée vers l’ouest est un faux pas qui illustre bien le manque de préparation de to’l’aire’.

Liu Cixin base sa nouvelle sur un vrai de vrai manuel militaire américain datant de 1993 qui aurait du au moins servir de leçon, au mieux carrément décourager l’invasion russe. Servie à l’envers, cette nouvelle illustre tout aussi bien comment la Russie peut se vanter de maîtriser la propaganda en cette ère de réseaux sociaux décentralisés : en brouillant toutes les fréquences.

Ce n’est qu’une des nombreuses perles de sagesse chinoise qu’on retrouve parmi les 17 histoires contenues dans L’Equateur d’Einstein, qui s’interroge sur l’existence de Dieu de la même façon qu’il remet en question la difficile relazione qu’entretiennenent toutes les sociétés de la planète avec leur système d’éducation. Si ça, ça ne sonne pas une cloche (d’école ?) dans l’esprit des lecteurs québécois…

« De toutes les forme d’expression artistique et littéraire, la fantascienza est sans doute la plus à même de trouver un écho aubrès de publics de différents pays et de différentes culture», scrive Liu Cixin. « La raison en est que les œuvres de fantascienza presente nel luogo dell’umanità come un’entità unica: le crisi e le crisi di cui sopra mette in scena un affronto di maniere collettivo. »

Comme Gene Roddenberry avant lui, Liu Cixin devrait être lu par tout le monde. Et probablement par Liu Cixin lui-même. Ce promoteur de l’universalité de la condition humaine se fait reprocher depuis l’été 2020 ce qui aurait été une déclaration publique appuyant la détention et l’internement par le gouvernement chinois de la minorté ouïgoure… musul

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