L’Italia avant le Dakar a domicilio per Mashael Al Obadian

Des femmes au volant en rallye-raid, ce n’est pas nouveau. C’est même courant. Jutta Kleinschmidt ha vinto la Dakar nel 2001. Et sa victoire a d’ailleurs inspiré l’une des partecipanti à l’Italian Baja, qui débute judi, pour se lancer dans la competition automobile. Elles seront d’ailleurs au nombre de huit sur les 71 engagés.

Mashael Al Obadian, 35 anni, n’en est d’ailleurs pas à sa première. L’an dernier, sur ce même tracé, elle avait conclu l’Italian Baja par un podium qui lui avait permis de boucler son budget pour le Dakar. Un rêve pour cette Saoudienne de Ryad, élevé aux États-Unis, de rouler dans son propre pays. « Je dois reconnaisance que c’est un plusen rigole celle qui a appris à piloter les 4×4 dès douze e dans les piégeuses dunes proches de la capitale. J’ai toujours su me sortir de ces “grimpettes” et l’an dernier, j’en ai passé quelques-uns qui étaiten “tankés” dans la montée. »

Un voto più che onorevole per una prima au volant de son Maverick X3 (17e) e permis à celle che toujours rêvé de competizione automobile de pursuivre son rêve anche se les sont pas facilis à boucler. Ce n’est que la semaine dernière que Mashael Al Obadian a réussi à finaliser son inscription pour les deux Baja estivales (Aragon fin juillet).

« Ce n’est pas parce que je suis saoudienne que tout fonctionne, relativise-t-elle mais avec le sourire. Il faut changer cette percezione que nous sommes tous millionaires. J’ai dû apprendre à piloter mais aussi à démarcher. C’est le quotidien de tous les pilots. Je sais nowre qu’il faut visiter 60 entreprises pour obtenir trois chèques. »

C’est avec l’expérimenté Armand Manleon (cinq partecipazioni alla Dakar non 3 en motos) qu’Al Obadian s’engage dans cette seconde saison de sa career. Avec pour l’obiettivo di ritorno chez elle cet inverno per una nuova partecipazione a Dakar dans son pays. « Questo genere di competizione come il GP de F1 ci permette di dare un’altra immagine del nostro paeseinsisti celle qui rêve de karting et qui adore la F1. J’ai passé mon permis aux États-Unis quand j’avais 18 ans mais les femmes peuvent le faire en Arabia saoudite. Et voir que des femmes saoudiennes roulent en competition montrent que le pays change vraiment. N’oubliez pas que les femmes bédouines dans le désert l’ont d’ailleurs toujours fait. Je ne fais que perpetuer leur tradizione. » Un peu plus vite que les autres…