Aprile 25, 2024

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“Les Fabelman”, le titre touchant de Steven Spielberg pour ses parents

“Les Fabelman”, le titre touchant de Steven Spielberg pour ses parents

Une poignée de chanceux, assez brillants pour réserver une place dès l’annonce de leur spectacle une semaine à l’avance et remplir la salle en quelques minutes, se sont donc retrouvés “ratés” par Thierry Frémaux au Pathé Bellecour à Lyon, mardi 1 octobre. 18 soirée pour découvrir le nouveau film de Steven Spielberg, fablemans, dans le cadre du Festival Lumière en croisière. Le film a été présenté en première au Festival international du film de Toronto le 10 septembre, et d’où il est reparti avec le prix du public, le film a été présenté en première en France, avant sa sortie nationale prévue le 25 janvier 2023.

Cela signifie que très peu de gens l’ont vu, et si les rumeurs corroborantes qu’il a proclamées nécessitent une vérification immédiate. Au moins, nous étions sûrs que le film parlerait de l’enfance de Spielberg, et qu’en tant que tel, c’était un défi pour son auteur. D’abord parce que le réalisateur, dont le travail est étroitement lié à l’enfance, notamment à travers ce film canon Qui. T étage supplémentaire (1982)faire face à fablemans Pour la première fois ouvertement pour son enfance. Science-fiction de paille. Extraterrestre fou. Une autre paire de manches. La deuxième raison est que Spielberg a en fait attendu vingt ans avant de se lancer dans ce projet, paralysant l’idée que ses parents puissent le voir.

Ce contexte raconte à lui seul les enjeux sensibles de ce film. On admire d’avance le geste subtil de l’attente, tout en même temps que l’impératif spirituel qui pousse un cinéaste de 75 ans à évoquer si intensément et si poliment le personnage de ses parents. Admiration, on pourrait être plus tard, tant le film est touchant, à tel point qu’il traite des rigueurs de la vie, en grande partie aussi composé – par filiation bergmanienne – dans le genre de scène romantique merveilleusement intimiste qui est d’une rareté déchirante sur écrans.

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les fantômes de l’ancien monde

Alors là, démêlons autre chose, l’histoire d’un jeune cinéaste juif américain qui travaillait dans les années 1960, prêtant beaucoup de tact et de sérieux pour relier l’histoire d’un couple retombant sur l’histoire d’un garçon qui était si défaite qu’il se terminerait en construction. Dans ce film, Spielberg ne peint pas tant son autoportrait qu’il s’adresse, à l’ère du cinéma aboli ou redécouvert, directement à ses parents, pour les embrasser dans l’agonie impuissante de leur séparation, et leur exprimer. En même temps, le prix que cela coûtera. Son enfance, qu’il réinventera sans cesse dans ses films. Michelle Williams en tant que mère, Paul Dano en tant que père, Seth Rogen en tant que meilleur ami du père, le jeune acteur canadien Gabriel Labelle en tant que Sammy Fabelman et même David Lynch dans une apparition surprise accrocheuse.

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