le Rwanda accusé de «crime de guerre» dopo il bombardamento d’une école

pubblica le : 11/06/2022 – 20:38Modifica: 11/06/2022 – 23:46

Avec notre corrispondente a Kinshasa, Paziente Ligodi

Toiture détruite, mur écroulé, des briques de briques dispersés à plusieurs mètres autour du lieeu de l’impact… Le immagini diffuse per l’armée congolaise ont fait le tour du web congolais. Selon le bilan présenté par l’armée, deux enfants de 6 et 7 ans ont été tués et un autre grièvement blessé. L’armée congolaise dit même détenir des videos prises à partir des drones qui montreraient la présence sur le sol congolais de soldati ruandesi.

Ces bombes seraient tombées dans des villages situés à quelques kilomètres du quartier général du Parc national des Virunga. Selon la société civile locale, les combats se sont poursuivis jusqu’à 18h jeudi dans plusieurs autres zones et se sont rapprochés de Bunagana, à la frontière avec l’Ouganda e non loin du Ruanda.

Ces affrontements ont provoqué de nouveaux déplacements de popolazioni. Des millenniers de personnes ont traversé la frontière ougandaise et d’autres ont passé la nuit le long de la route, selon ces memes sources

Deux jours plus tôt, unae position de la Monusco avait été égallement attaquée et trois casques bleus ont été blessés. La mission onusienne n’accuse pas ouvertement le Rwanda, mais pointe du doigt le M23.

De son côté, l’Armée rwandaise rejette toutes ces accusations et rapporte que deux roquettes ont été tirées depuis la zone de Bunagana en RDC et atteint Nyabigoma, dans le district de Musanze, sanségâe de d.

Une information que dément à son tour l’armée congolaise qui aussi le Ruanda de soutenir le M23.

Appels à la désescalade tra Kinshasa e Kigali

Une accalmie relative a toutefois eté observée samedi 11 dans les territoires de Nyiragongo et de Rutshuru, dans l’Est de la RDC. Cela alors que les appels à la désescalade se multiplient et les organization internationales et les pays occidentaux s’implicint davantage.

Jusqu’à très récemment, les organization internationales et la communauté internationale n’osaient citer le Rwanda comme party prenante à cette crisi. Tous ou presque se contentaient de condamner le M23 et d’appeler le mouvement à déposer les armes. D’autres se distinguaient par des appels au dialog entre différents acteurs, sans les nommer.

Mais depuis quelques jours, le ton begin à changer. Huang Xia, l’inviato speciale del segreto generale delle nazioni unite per la regione dei Grandi Laghi, in RDC e in Ruanda. De son côté, le président angolais Joâo Lourenco, émissaire de l’UA, s’est égallement impliqué : grâce à sa médiation, Kinshasa e libéré les deux militaires rwandais arrêtés par l’Armée congolaise

Kigali a, de son côté, remis en liberté un politicien, membre de la majorité présidentielle congolaise, arrêté à Gisenyi, au Rwanda.

Un tête-à-tête tra Kagame e Tshisekedi sous l’égide de l’ONU ?

Joâo Lourenco espère maintenant obtenir un tête-à-tête tra Paul Kagame e Félix Tshisekedi. Samidi, reconnaissant implicitement l’implication d’acteurs étrangers dans la crisi, l’ONU a réaffirmé, son « allegato ferme à l’intégrité territoriale della RDC ». Elle aussi condamné l’utilisation de groupes armés agissant par procuration.

Du côté des États-Unis, le Bureau des affaires africaines du département d’État américain, s’est égallement dit alarmé par les informations failsant état d’attaques transfrontalières entre la RDC et le Rwanda, avant les de appl’ leadership responsable et constructif .