Aprile 24, 2024

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La vaccinazione unica coinvolge l’espoir d’éradiquer il papillomavirus

Il papillomarvirus umano è stato attuato considéré comme le premier facteur d’infection sexuellement trasmissibili. Cette nouvelle annonce rentre dans la dynamique de l’élargissement de la vaccination à toute la popolazione generale, dont les garçons font partie depuis peu.

Papillomavirus: un virus encore trop presente

Chaque année en France, il papillomavirus è la causa di 6000 tumori non 4500 chez les femmes (col de l’utero, vulve, vagina, ano e orofaringe). L’infezione da HPV, est l’une des maladies sexuellement trasmissibili les plus fréquentes chez l’humain. Il se transmet par contact avec une peau ou une muqueuse contaminée.

Actuellement, 4 vaccini ayant été approuvés par l’OMS sont capaci di proteggere i tipi 16 e 18 du HPV. Ces derniers sont connus pour être à l’origine d’au moins 70% de cancers du col de l’uterus.

L’élément clé dans la vaccination contre HPV intervient au niveau de l’âge de la prima vaccination, en effet ce vaccin fonctionne beaucoup mieux s’il est administré avant une exposition au virus, au moment des premiers rapports sexuels. Cette vaccination doit donc avoir lieu de préférence entre l’âge de 9 et 14 ans.

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Le ambizioni della vaccinazione unique d’après l’OMS

Les facteurs de prévalence du virus corrélés avec ceux des cancers du col de l’uterus, varient grandement en fonction des régions du monde. En causa? Une lente introduzione de la vaccination dans les pays pauvres ou cet «assassino silencieux» sévit durement. Il cancro del collo dell’utero è in corso nel cancro che tocca le donne più toccate, in questo caso il 90% delle donne toccate dal cancro vivent dans des pays à revenus faibles o intermedi.

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Gli oggetti dell’OMS à l’optique de 2030 sont de vaccinar « 90% des jeunes filles avant leurs 15 ans » dans le but de prévenir les cancers du col de l’utérus, d’après la déclaration du sous-directeur général de l’OMS, le Dr. Principessa Nothemba (Nono) Simelela.

L’avancée propone par ce changement de schéma vaccinal en una dose unique va permettre un partage des dosis plus efficacis et donc un accès plus large à toute la popolazione mondiale.

La vaccination contre HPV est un enjeu de santé publique et nécessite un engagement politique par des voies équitables pour l’accès au vaccin, «Ne pas le faire est une envers la génération de filles et de jeunes femmes qui pourraient ê cancer du col de l ‘utero » d’après le Dr Princess Nothemba (Nono) Simelela.

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Une dynamique d’élargissement de la vaccination aux garçons

Cependant, bien que la vaccination ait permis une forte prévention de l’épidémie chez les femmes, ces moyens demandent égallement à inclure les hommes dans ces ces campagnes de vaccination. En effet, chaque année en France, ce ne sont pas moins de 1750 hommes qui déclarent un cancer à la suite d’une instance par HPV. Ce risque d’infection augmentant chez les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes. Les hommes sont aussi à prendre en compte dans les campagnes de vaccination car ils sont considérés comme «vecteurs du virus». Depuis 2019 en France, la recommandation de vaccination est élargie aux jeunes hommes et adolescents à partir de 11 ans, au même titre que les filles, une mesure qui arrive plus tardivement que dans bien d’autres pays occidentaux.

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Plusieurs facteurs de prevention sont en jeux. D’une part, la prevenzione dei rischi di cancro maschile si trova in un’infezione da HPV bien que celle-ci soit inférieure que celle des femmes. D’autre part, l’équité de genere par rapport à l’accès à la vaccination mais égallement la protection des hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes qui sont une population plus à risques face aux pathologies liées au HPV.

Cert élargissement de la vaccination permettrait enfin une protection de la population générale face à ce virus.