Aprile 20, 2024

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La consommation d’édulcorants associée à un osé plus élevé de cancer, selon une étude de l’Inserm

Ils donnent un petit goût sucré aux aliments, tout en permanente de réduire leur teneur en sucre ajouté. Les édulcorants sont consommés au quotidien par des million de personnes. Mai sont-ils si bons pour la santé ? Non, in croire une étude réalisée par des chercheurs de l’Inserm, de l’Inrae, du Cnam et de l’université Paris-Sorbonne. D’après leurs travaux, ces additifs alimentaires sont associés à un osé accru de cancers, notamment de cancer du sein et de cancers lies à l’obésité.

Les chercheurs ont analysé les données de santé et la consommation d’édulcorants de 102 865 Français et Françaises, partecipante à la vasta scuola NutriNet-Santé. Les volontaires y ont renseigné leurs antécédents médicaux, leur activité physique, leur état de santé et leur mode de vie. Ils ont aussi entré les noms et marques des produits consommés. De quoi mesurer leur exposition aux additifs alimentaires et notamment aux édulcorants.

Le suivi débuté en 2009 a duré jusqu’en 2021. Les chercheurs ont enregistré les diagnostics de cancers rapportés au cours de cette période. Et ils ont fait une analysis statistique afin d’étudier le lien éventuel entre la consommation d’édulcorants et le risque de développer un cancer.

Les scientifiques ont constaté que, comparés aux personnes qui n’en consommaient pas, les plus gros consommateurs d’édulcorants, c’est-à-dire ceux au-delà de la médiane de consommation, avaient un risque plus 13% delevé développer un cancro, quel qu’en soit le type, en particulier avec l’aspartame et l’acésulfame K.

A ce jour, les apports en edulcorants à travers l’alimentazione “proviennent à 53% de boissons édulcorées, à 29% des sucrettes ou édulcorants de table, à 8% des produits laitiers ou dessert lactés, parfois même d’aliments salés comme des chips”dettaglio Mathilde Touvier, directrice de recherche en épidémiologie Nutritionnelle à l’Inserm.

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“L’étude quantificare pour la première fois dans le monde l’exposition aux édulcorants au global sur toute l’alimentation et par type de composant pour la mettre en relationship avec le risque de maladiesouligne bis Mathilde Touvier, qui a coordonné l’étude. Jusqu’ici, les études étaient expérimentales, surtout sur des modèles animaux ou des cellules.”

Bien qu’il ne soit pas encore possible d’établir une relationship de cause à effet directe, “ces résultats ne soutiennent pas l’utilisation d’édulcorants en tant qu’alternatives sûres au sucre”, prévient la chercheuse. Ces résultats, stima Mathilde Touvier, pourront servir à “la réévaluation en cours par l’Autorité européenne de sécurité des aliments et d’autres agences de santé publique dans le monde”.