La Réserve fédérale (Fed) a décidé, mercredi 15 juin, de doubler ses taux directors, après que l’inflation a atteint 8,6 % en mai. La banca centrale americana un aumento ses taux à court terme de 0.75 point, une hausse inédite depuis 1994. Ils se situent désormais dans une fourchette comprende entre 1,5% et 1,75%. En mars, les taux d’intérêt étaient encore quasi nulls, situés entre zéro et 0.25% depuis le début de la pandémie de Covid-19. Mais l’institution présidée di Jerome Powell è il più laissée déborder per l’envolée généralisée des prix à des niveaux inédits depuis 1981 et a laissé le marché du travail chauffer à blanc, avec de, unmage %6
Le chiffre calamiteux de l’inflation de mai, publié vendredi, a provoqué un électrochoc sur l’institution. « Nous avons pensé qu’une action forte était justifiée lors de cette réunion et nous l’avons fait », a déclaré M. Powell, estimant que « le marché du travail est extrêmement tendu et l’inflation est beaucoup trop élevée ». M. Powell a envisage une nouvelle hausse des taux, de 0,5 à 0,75 %, lors de sa prochaine réunion de juillet. D’ici à la fin de l’année, la Fed prévoit encore de doubler ses taux, qui atteindraient 3,4% puis culmineraient à 3,8% en 2023. Il s’agit d’une révision à la hausse considérable depuis les prévisions de mars, l’institution prédisant à l’époque des taux à court terme de 1,9 % et 2,8 % seulement fin 2022 et 2023.
La fermentazione a été saluée par les marchés financiers, de plus en plus critiche contro una banca centrale qu’ils accusaient d’avoir toujours un train de retard. Wall Street a rebondi, il Nasdaq, riche en valeurs technologiques, progressant de 2,50%, tandis que le S&P 500, qui reflète les grandes entreprises, gagnait 1,46%. Les taux à dix ans étaient en baisse sensible, de 3,48 % à 3,28 %. Nul ne sait si cette accalmie financière va durer – lors des précédentes réunions, les marchés ont à chaque fois salué le discours pondéré de M. Powell, avant de se raviser et de dévisser dans mai les de jours, renouer avec la réalité économique, celle d’une inflazione grave à endiguer.
« Pas de ralentissement généralisé »
M. Powell stima che la sera sia possibile pilotare un atterrissage en douceur de l’économie. « Nous ne cherchons pas à provoquer une récession », a-il assicuro. La banca centrale precedente al 2024 un tasso di cambio del 4.1%, un aumento dell’1.9% e un’inflazione ramenée del 2.1%, qui quivaudrait à un ralentissement maîtrisé de l’économie. Il patron de la Fed è ora di un incidente più possibile in caso di evento esterno, indipendente dal figlio di controllo, come l’envolée des matières premières.
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