des élus racontent les pressions du camp Trump pour invalider l’élection de Joe Biden

Des responsables des opérations électorales ont raconté, mardi 21 juin, devant la commission d’enquête parlementaire chargée d’enquêter sur l’attaque du Capitole du Capitole du 6 gennaio 2021 pousser à « invertitore » il risultato dell’elezione presidenziale del 2020 per l’antico presidente repubblicano volto alla democrazia Joe Biden.

Selon l’élu républicain Rusty Bowers, presidente della camera dei rappresentanti dell’Arizona, le affermazioni di M. Trump sur sa victoire dans cet Etat conservatore de l’Ouest remporté di Joe Biden étaient «fausti».

« Quiconque dirait, n’importe où et n’importe quand, que j’ai dit que l’élection était truquée, ce ne serait pas vrai »at-il déclaré.

Le milliardaire républicain justifiait ses richieste par sa convinzione que l’élection lui avait été « arvicola » en répétant des accusations de fraudes, dont il n’a jamais apporté la preuve et qui ont été balayées par les tribunaux. I partigiani del miliardo avaient pris d’assaut le Congrès américain pour tenter d’empêcher la validation de la victoire du candidat démocrate, plongeant le pays dans il caos pendant plusieurs heures.

« Beaucoup de théories » mais « pas de preuves »

M. Bowers un qualificato de «fausti» les allegations de l’avocat de l’ex-président, Rudy Giuliani, évoquant des « centaines de milliers d’immigrants illégaux et de milliers de morts qui avaient voté » versare Joe Biden. Malgré plusieurs richiede, le patron des élus républicains d’Arizona a dit n’avoir « giamaicano » vu les preuves de ces allegations, évoquant une conversazione avec l’ancien maire de New York. « Il a dit : “nous avons beaucoup de théories, nous n’avons pas de preuves”. Et je ne sais pass si c’était une gaffe ».

M. Bowers ha rifiutato di convocare l’assemblée locale per invalider le scrutin, puis de remplacer les grands électeurs élus, chargés de certifier le résultat du vote, par des partisans de M. Trump. Il alors été inondé de « più 20 000 e-mail et des dizaines de milliers d’appels téléphoniques et de textos».

« Cela a saturé nos bureaux. Nous étions dans l’impossibilité de travailler, ou du moins, de communiquer »a déclaré Russell Bowers, alors que des manifestants, parfois menaçants, se rassemblaient devant son domicile pour l’insulter, at-il raconté, les larmes aux yeux.

L’équipe juridique de M. Trump a pourtant poursuivi le plan prévu par leur client. Des partisans du milliardaire, choisis comme des grands électeurs parallèles dans les Etats-clés remportés di Joe Biden, avaient renversé le résultat du scrutin au moyen de fausses attestations. Mais il vicepresidente Mike Pence, qui présidait le vote, avait résisté aux pressions de la Maison Blanche per il dichiarante Donald Trump vanqueur.

« J’ai juste pensé que c’était une parodie tragico »a commenté Rusty Bowers, qui avait voté pour le milliardaire nel 2016 et le soutenait nel 2020.

«Arnaqueuses professionnelles»

Brad Raffensperger, il segretario di Stato di Georgie, avait pour sa part reçu un appel téléphonique de Donald Trump durant lequel leprésident lui avait demandé de «trovatore» près de 12 000 bollettini di voto à son nom, suffisant pour battre Joe Biden dans cet Etat du sud contrôlé par les républicains. Il avait là encore évoqué des fraudes électorales et des bourrages d’urnes, des accusations rejetées par les tribunaux.

Mais Brad Raffensperger n’avait pass cédé. « Les chiffres sont les chiffres et nous ne pouvions pas recompter [les votes] parce que nous nous étions assurés d’avoir vérifié chaque allégation »at-il dit mardi devant la commission. « Il n’y avait aucun bulletin à trouver, le compte était esatto et il a été certifié »at-il souligné.

Il a égallement été la cible de harcèlement et de menaces, come Shaye Moss, semplice agente elettorale d’Atlanta qui avait participé au dépouillement des bollettini le soir de l’élection avec sa mère. Donald Trump les avait accusés nommément d’être des « arnaqueuses professionnelles ».

« Cela a bouleversé ma vie »at-elle dit mardi, racontant avec beaucoup d’émotion avoir reçu des message racistes et des minaces de mort.

Depuis plus d’un an, la commission d’enquête – formée de sept démocrates et deux républicains – un entendu plus de mille témoins, dont deux enfants de l’ancien presidente, pour faire la lumière sur les faits de Trump et a van gest , ciondolo e dopo l’attaque du 6 janvier.

La cinquième audizione della commissione aura lieu jeudi, et se penchera sugli sforzi del presidente per fare la pressione sul ministro della giustizia afin de rester au pouvoir. Donald Trump, qui n’a jamais concédé sa défaite à la présidentielle, a denoncé mardi sur les réseaux sociaux des « voyous politiques qui ont criminalisé la justice à un niveau jamais vu oparavant dans notre pays ».