Marzo 29, 2024

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Covid-19 : infarto, infiammazioni cardiache… faut-il s’inquiéter de complicazioni persistenti ?

l’essenziale
Infarto, infiammazioni cardiache… Risque-t-on des complicazioni cardiovasculaires des mois après avoir attrapé la Covid ? Certains médecins s’en inquiètent, même s’il est trop tôt pour être sure d’un lien de cause à effet.

“Una sorveglianza cardiovasculaire clinique s’impose chez tous les sujets ayant une infezione Covid-19, même bénigne”, affermait en début de semaine l’Académie de médecine, l’instance censée porter le consensus de la en discipline France. La Covid et les maladies cardiovasculaires entretienent des “liaisons dangereuses”, estime-t-elle, se basant sur plusieurs études récentes.

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On savait déjà que les malades cardiovasculaires présentent des risques plus élevés de développer une form plus grave de Covid. C’est notamment parce que le virus, le Sars-Cov-2, se fixe sur un “récepteur” – l’enzyme ACE2 – particulièrement present dans les cellules des vaisseaux sanguins. Mais qu’en est-il des effets cardiovasculaires chez l’ensemble de la popolazione ? Et, s’ils sont avérés, peuvent-ils intervenir longtemps après l’infection ? La question rejoint les incertitudes plus larges autour des Covid longs, un ensemble durevole de symptômes encore mal compris et mal définis.

“Jusqu’à présent, les séquelles cardiovasculaires (durables) étaient rapportées uniquement chez despatients hospitalisés, dans de petite séries et avec une durée de suivi brève”, nota l’Académie. Mais une vasto studio, menée aux Etats-Unis et publiée en février dans la rivista Nature, cambia, selon elle, la donne. Ses résultats “font présager une augmentation significant des maladies cardiovasculaires dans le monde” à la suite de la pandémie de Covid.

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“Même sans ricovero”

Menée auprès de plus de 150 000 vétérans de l’armée américaine, tous ateints de la Covid, cette étude mesure la fréquence des cardiovasculaires dans l’année suivant l’infection. Elle la compare à des groupes de vétérans qui n’ont pas été contaminés. Risultato: “Au-delà des 30 jours qui suivent l’infection, les individus ateints de Covid-19 ont un risque plus élevé des cardiovasculaires”, conclut trouble l’étude, citant des infarctus, des instances cardiaques ou des AVC.

Ce risque “existe même chez les individus qui n’ont pas été hospitalisés” à cause de la Covid, note-t-elle, même s’il reste nettement moins importanti chez ces pazienti-là. Ce travail a été salué par de multiples chercheurs, notamment parce qu’il a été réalisé auprès d’un très grand nombre depatients et pendant une longue période. Toutefois, des expert se montrent plus sceptiques.

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Il est “très difficile de tirer des conclusioni pertinentis” de cette étude, estime auprès de l’AFP le statistiche britannique James Doidge, e trouvant trop de biais méthodologiques. L’un d’eux est évident : les vétérans américains, aussi nombreux soient-ils, sont une population très homogène, car largement composée d’hommes plutôt âgés. Elle n’est donc pas forcement représentative, même si les auteurs de l’étude ont cherché à corriger ces biais statistiques.

Cette correzione resta insuffisante pour M. Doidge qui pointe un autre problème: l’étude ne distingue pas bien à quel point les troubles interviennent longtemps après l’infection.

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Come la presa?

Oppure selon qu’ils frappent lepatient à peine plus d’un mois après celle-ci, ou près d’un an plus tard, le contexte sera différent. Selon James Doidge, l’étude ne permet pas assez de différencier “le complicazioni a lungo termine delle cellule associate alla fase aiguë de la maladie”. Pour autant, ce travail “a le mérite d’exister”, tempère aubrès de l’AFP le cardiologue français Florian Zores.

Lui aussi note plusieurs imperfections, mais il estime que l’étude permet d’appuyer des hypothèses déjà jugées probables par nombre de cardiologues au concern du profil du Sars-Cov-2 qui, durevole comme d’autres virus, peut provo infiammazione. Oppure, “on sait depuis longtemps que l’inflammation est un facteur de risque cardiovasculaire”, nota M. Zores. “En fait, su retrouve esatto la même ha scelto avec la grippe.”

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Il rappelle ainsi que dans les années 1920, les pathologies cardiovasculaires ont bondi dans le sillage de la pandémie de grippe espagnole. Y at-il une spécificité qui rendrait le coronavirus encore plus Dangereux sur ce plan? Les études actuelles ne permettent pas de le dire, et Florian Zores dit douter “qu’il y ait une grande différence” avec la grippe.

Mais la question ne change pas forcement grand-chose en matière de santé publique. À partir du moment où ce risque esiste, le cardiologue estime de toute façon Dangereux de laisser librement circuler le coronavirus, étant donné sa forte contagiosité.

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