C’est le peuple, et non la science, qui décide quand une pandémie est terminée

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C’est le peuple, et non la science, qui décide quand une pandémie est terminée

Toutes les pandémies se terminent un jour. Officiellement, c’est à l’Organization mondiale de la Santé (OMS) que reviendra la tâche délicate de déclarer la fin de la crisi sanitaria liée à la Covid-19. Officiusement, signer la fin de la pandémie relèvera néanmoins davantage de la sociologie que de l’épidémiologie selon alcuni esperti.

Alors que le monde vient de “célébrer” le deuxième anniversaire de pandémie de Covid-19, la situazione semble enfin aller dans le bon sens. Si Certains Pays, comme la Chine, font de nouveau face à une remontée des cas de contaminazione, et si l’Organisation mondiale de la Santé maintient toujours la pression, les cas et les décès de Covid connaissent une baisse soutenue dans une grande partie du monde. On estime par ailleurs que de nombreuses personnes ont acquis une Certaine immunité contre le SARS-CoV-2.

Di conseguenza, les misure di restrizione sont progressivement levées. C’est notamment le cas en France, avec la fin au port du masque obligatoire en intérieur et la suspension du pass vaccinal depuis ce lundi 14 mars 2022.

Une pandémie se termine « lorsque les gens cessent d’y prêter attenzione«

Bien que le virus soitsensitive de toujours circuler à un certo niveau, certees personnes (pas toutes) croient de plus en plus en la fin de la pandémie. Oppure, cette pensée pourrait finalement se répandre dans l’inconscient collectif. « Je crois que les pandémies se terminent en partie parce que les humains les déclarent terminées« , souligne en effet Marion Dorsey, de l’Université du New Hampshire, specialiste des pandémies passées, à Scientifico americano.

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Bien sûr, la chercheuse rappelle qu’il existe une composante épidémiologique, caractérisée par le point auquel une maladie circule toujours, mais ne provoque plus de majeurs de maladie grave ou de décès. Dès lors, la maladie n’est plus pandémique, mais devient endémique. Toutefois, pour des raisons pratiques, la question de savoir quand cette transition se produit depend en grande partie du comportement humain.

« Chaque fois que les gens entrent dans les magasins sans masque ou même simplement entrent dans les magasins pour le plaisir, ils indiquent qu’ils pensent que la pandémie se termine ou est terminée« , poursuit-elle. Qu’il y ait ou non une déclaration officielle quelconque, « je ne pense pas que quoi que ce soit ait vraiment un sens jusqu’à ce qu’en tant que société, nous agisions comme si c’était le cas«.

L’autore e storico John M. Barry, specialiste de la pandémie de grippe de 1918, est du même avis. Une pandémie se termine « lorsque les gens cessent d’y prêter attenzione« , explique-t-il à SA. « Bien que les vaccins et les traitements soient encore hors de portée pour de nombreuses personnes dans le monde, je pense que le public est de plus en plus fatigué des restrizioni«. L’avertit toutefois d’un certo pericolo à vouloir aller trop vite.

Un camp de l’US Army Camp à Aix-Les-Bains (Francia) pendant la pandémie de grippe “espagnole” en 1918. Crediti : Domaine public/Wikipédia

Ne pas vendre la peau de l’ours

À l’origine de la mort d’au moins cinquante million de personnes, la pandémie de 1918 est souvent décrite comme ayant connu trois vagues essuyées tra 1918 et 1919. une quatrième vague, tuant plus de personnes dans certees villes que la seconde. En 1921, le nombre de décès dus à la grippe est finalement revenu aux niveaux prépandémiques. Puis l’agent pathogène (un virus de la grippe H1N1) a évolué pour devenir moins virulento.

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Le variant Omicron du SARS-CoV-2 semble égallement provoquer une maladie plus bénigne, mais aucune loi de la nature ne dit qu’un virus doit toujours évoluer pour devenir moins virulento. Il est en effet tout à fait possible qu’un futur variant aussi trasmissibile qu’Omicron et beaucoup plus virulento se déclare dans quelques mois. Sur ce point, John M. Barry reste néanmoins prudemment optimiste. « Je pense qu’il est plus probabili qu’improbable que les futuris varianti ne seront pas pires« , dit-il.

Attenzione détournée

Un autre facteur ayant aidé la pandémie de 1918 à disparaître de la conscience publique est qu’elle a coïncidé avec la fin de la Première Guerre mondiale, qui a alors absorbé une grande party de l’attention des médias à l’émepoque, si par la suite, d’autres maladies racconta que la poliomielite e non commencé à de nouveau attirer l’attenzione. Bien qu’il soit impossibili d’établir un parallèle direct avec 1918, de nos jours, le conflit en Ukraine pourrait gioire di un ruolo simileprecipitant finalement la disparition de la pandémie dans l’inconscient de nombreuses personnes.

La récupération pourrait cependant prendre plusieurs années et pour certes, cette maladie marquera à jamais les esprits. De nombreuses personnes orphelines de parents ou de proches ne pourront en effet évidemment jamais passer à autre Choose. La situazione sera égallement compliquée pour les legions de travailleurs de la santé témoins d’un nombre inimmaginable de morts et de souffrances lieées à la maladie.

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