ce que l’on sait des symptômes observés chez les premiers malades en Europe

“Une action urgente et coordonnée est imperative si nous voulons changer de cap dans la course contre la diffusione de la maladie.” La direzione della filiale europea dell’Organizzazione mondiale della santità (OMS), Hans Kluge, a lance cet avertissement, vendridi 1er juillet, alors que la variole du singe continue de se propager sur le continental européen. Selon les données de l’agence onusienne, la regione compte désormais plus de 4 500 casi confermati in laboratorio, soit trois fois plus que mi-juin. Le Royaume-Uniest le pays le plus touché avec 1 076 cas, selon les données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC). La France en comptait près de 500 vendredi, selon Santé Publique Francia.

Ce rappel de l’OMS intervient alors qu’une étude, publiée dans le Malattie infettive delle lancette (en glais), analizzare les symptômes identifiés chez les premiers patients britanniques infectés. Menées auprès d’une cinquantaine de malades, ces recherches sot parmi les premières à caractériser les spécificités cliniques de l’épidémie actuelle. L’échantillon corrisponde à plus de la moitié des Patients Identifiés au Royaume-Uni en mai. Chez eux, la variole du singe s’est manifestée différemment de ce que les scientifiques connaissaient.

Une fièvre moins forte

Parmi les symptômes récurrents de la variole du singe, les scientifiques ont identifié la fièvre. D’après les osservazioni réalisées sur les malades en Afrique, une poussée de température est considérée comme quasi systématique. Elle s’accompagne de forti maux de tête, de douleurs musculaires, ainsi que d’une infiammazione dei gangli linfatici. Des maux de dos et une grande fatica peuvent aussi apparaître.

Si l’on en croit les résultats de l’étude britannique, il 57% degli studi dei pazienti sui sintomi. Non seulement les accès de fièvre sont moins fréquents, mais ils apparaissent aussi nettement moins longs et nécessitent beaucoup moins d’hospitalisations.

Des lésions plus ciblees

Autre manifestazioni typique de la maladie : des lésions cutanées qui apparaissent “généralement un à trois jours suivant l’apparition de la fièvre”preciso l’OMS. Ces éruptions se concentrent en général davantage sur le visage (dans 95% des cas), les paumes des mains et les plantes des pieds (75%). Les muqueuses buccales (70%), les organes génitaux (30%) et les conjonctives (20%), ainsi que la cornée sont égallement touchés.

Chez la cinquantaine depatients britanniques observés, l’immensa majorité (94%) a souffert de lésions concentrées autour des party génitales. Pour les auteurs de l’étude, cette spécificité laisse penser que les premiers cas britanniques ont été contaminés par contact lors de relations sexuelles. Cela ne veut pas dire que la maladie est devenue sexuellement trasmissibile. L’hypothèse d’une transmission par contact lors de relations sexuelles corrisponde à la notion, bien établie, qu’une contaminazione est possible en touchant une lésion cutanée chez un autre Patient. La variole du singe se transmet par contact très proche et 99% des cas concerned actuellement des hommes jeunes (20 à 40 ans) ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes, rappelle l’OMS.

Passaggio di modifica genetica maggiore del virus

Ces symptômes légèrement différents ne significante pas qu’une nouvelle version du virus est apparue, comme cela peut être le cas pour le Covid-19 dont les variants se multiplient. “Il n’y a pas de modification génétique majeure” dans les virus séquencés chez les patients actuels, a fait remarquer le pneumologue Hugh Adler auprès de l’AFP.

La majorité des cas européens – et américains – ont pour l’heure été enregistrés chez des hommes ayant eu des relations homosexuelles, mais ils ne sont pas les seuls concernés. Plus largement, les auteurs de l’étude jugent que leurs osservazioni plaident pour élargir la définition de la maladie, afin de mieux détecter les nouveaux cas. Ils préconisent par exemple de ne pas insister autant sur une fièvre. Hugh Adler pensa all’Africa, de nombreux cas, sans fièvre ou avec des lésions limitées, n’ont peut-être pas été détectés, biaisant les comparaisons.

Le plus souvent bénigne, la variole du singe guérit en général spontanément après deux à trois semaines.