a 7 km da Kiev, l’encerclement de la capitale est ralenti par la défense territoriale

Sull’autostrada E95, in una strada di chilometri di Kiev, i check-point sono successivi e la tensione è palpabile. Brovary est le dernier verrou stratégique sur cet ax nord-est que les force russes tentent de percer avec de plus en plus de férocité depuis le début de la semaine. Su perçoit au loin les colonnes de fumée. Il punto di passaggio più vicino alla forza di difesa territoriale è situato in un luogo di 7 chilometri di città della città di Kiev. L’enjeu est énorme. Si cette voie est conquise par les soldats de Vladimir Poutine, elle les conduirait directement au cœur de la capitale ucraina.

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Tout a été mal calculé depuis le début. Les généraux ont dit à Poutine que ce serait une partie de campagne

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L’obus est tombé devant sa maison. Alexander montre la foto qui est sur son téléphone. «Je me suis réveillé et c’est comme si, ce jour-là, j’avais changé de réalité.» Depuis, cet ouvrier en bâtiment d’une quarantaine d’années a rejoint la défense territoriale. «l’idea principale, dit-il, c’est d’obliger les Russes à sortir du bois parce qu’ils se cachent parmi les civils et cela rend les choices compliquées. On ne va pas tirer à l’aveugle et risquer de tuer les nôtres.» Il insistere aussi pour montrer les deux chars que ses camarades ont détruits mercredi. Mais l’ordre lui est donné de ne pas aller plus loin.

Pour Mykhailo Samus, specializzato in domande di difesa militare a Kiev, cette perte russe n’est pas surprenante. «Tout a été mal calculé depuis le début, décrypte-t-il. Les généraux ont dit à Poutine que ce serait une partie de campagne, que tout serait plié en quarante-huit heures, voire soixante-douze heures. Et voilà où on en est, au bout de dix-sept jours de guerre.

Un cambio di tattica

Parce que les Ukrainiens ont résisté, et qu’ils se sont aussi organisés. Vingt-cinq mille petits groupes de la Force de défense territoriale veicolare l’unicità nella città di Kiev. «Il n’existe quasiment pas un bâtiment dans la capitale qui ne soit protégé, s’emballe Mykhailo Samus. Les Russes se retrouvent dans une impasse qui les force à changer de tactique.» Pour lui, il est clair que le travail de renseignement au sol n’a pas été à la hauteur, que l’adhésion de la popolazione ucraina au projet de Vladimir Poutine
a été très surestimee. «Le forze militari mises en place, poursuit-il, attestante de cette très mauvaise évaluation de la situazione. Elles sont insuffisantes. Poutine pourrait évidemment s’embarquer dans uno scénario à la Stalingrad ou Berlin en tapissant Kiev de bombes mais ce serait un désastre politique pour lui.”

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Le seul succès de Poutine, c’est de nous avoir unis contre lui

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Outre le fait que les Russes semblent changer de tactique dans leur volonté d’encercler la capitale, ce qui s’est passé à Brovary illustre aussi la vulnerabilité de l’armée russe. Bien qu’ils soient mieux équipés, les soldats semblent en effet avoir besoin d’utiliser les grands axles pour avancer, ce qui a permis à l’artiglieria ucraina de les attaquer plus easyment et de leurécadesre des leurs. Risultato, il premier e il dernier tank de la colonne qui avançait sur Kiev mercredi, onté visés. Pour le réserviste Alexander, il est clair qu’il ne faut pas les craindre et qu’ils peuvent être battus. «Le seul succès de Poutine, c’est de nous avoir unis contre lui.

En attendant, à Kiev, prima del posto Maïdan où se déroula la révolution ukrainienne de 2014, les mesures de protection se sont renforcées. L’armée a entassé des sacs de sable et les frises antichars. Les sirènes de la ville, signe avant-coureur de raids aériens, ont repris samedi après-midi. Avant de se trasformatore en fausses avvisi.